Depuis plus d’une année maintenant, l’humanité tout entière traverse une phase particulière de son histoire. La COVID-19, dont l’origine reste encore inconnue des grands scientifiques à l’heure où j’écris ces mots, a mis sous asphyxie l’économie mondiale et endeuillé déjà beaucoup de familles. Ce virus nous a appris à respecter des gestes barrière et à vivre avec le port de masque lors de déplacements dans des zones publiques. Plusieurs habitudes ont intégré notre style de vie. Aujourd’hui je souhaite m’axer sur le port du masque.
De part son fonctionnement, le masque est en contact directement avec l’une des parties les plus importantes de notre corps, le nez. Le nez fait partie intégrante du système respiratoire. Il permet de faire rentrer de l’air, en le filtrant avec les quelques poils présents dans les narines, et de le conduire vers les poumons afin d’oxygéner le sang et le cerveau. Une bonne respiration permettra un meilleur fonctionnement du cerveau, permettra une bonne circulation du sang et permettra d’avoir les idées claires. Par contre une mauvaise respiration plonge le corps dans un état d’apnée non maîtrisé, ce dernier en état de stress ne saura plus gérer les priorités et restera confus à tout instant.
Les masques chirurgicaux utilisés sont un danger à la fois pour l’homme qui a du mal à respirer correctement, mais aussi pour les animaux qui peuvent se retrouver étouffés par en jouant avec. Des masques déjà utilisés sont retrouvés sur les trottoirs, au bord de rivière, et même sur les plages à travers le monde. Faits de polyester et polypropylène, les masques mettent de centaines d’années avant de se décomposer.
Créer et innover des masques qui permettront de respecter le cycle de respiration, qui permettront l’oxygénation normale de nos poumons, qui permettront le respect de l’environnement et des animaux et qui permettront de respecter les gestes barrières est plus que nécessaire, il en va de notre santé à tous.
MDMF