Peut-on optimiser l’état d’un non existant ? Ou faut-il nécessairement passer par la case de tangibilité, de concret et de première réalisation pour perfectionner ?

Ce que je sais est que si nous voulons réellement prétendre vouloir créer des systèmes alternatifs, c’est que nous admettons déjà qu’un existant est. Mais si nous voulons remplacer l’existant ? Pourquoi ne pas être expert dans cet existant, en maitriser les limites pour sereinement construire des alternatives au besoin ? Ou peut-être cette expertise pervertira la conception même de la nouvelle alternative ?

Ce dont moi je suis sûre, c’est que rien ne perd, rien ne se crée, tout se transforme.

MDMF

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *